Mendo @ la Ferme, Colmar (Get Up festival 2011)


Still Up is back!
Mendo en 'before' au Bar le 12
Ils sont de retour... Les 3 mousquetaires de l'electro colmarienne : Charles de Batz de Castelmore d'Artagnan Paul de PEG de Colmar downtown, Athos, pardon : Gonzos, sans oublier le Porthos (Aramis en retard n’arrivera que Jeudi)
Pour la troisième année consécutive, la Ferme ouvre ses portes au festival GET UP Ã  l’occasion de la foire aux vins de Colmar, à peine le dernier verre de vendanges tardives vidé, les insatiables traversent la route direction le “dancing” de la Ferme Elter :)

Pour cette Saturday Night, “Still Up” réinvite David MENDO, sa House chaleureuse ayant déjà enflammée le dancefloor de la ferme en Mai 2010

Mendo, c’est l’enfer
en maître de cérémonie, un Lucifer Suisse, pays du chocolat, des lacs et donc de la House.
la voiture de Lucifer
Réincarné sous les traits de Mendo, beau gosse Hispano-Suiza, Lucifer emmène la foule de plus en plus nombreuse vers une partouze atomique, une fornication virtuelle (ou pas ^_^), bafouant au passage l’ensemble des dix-commandements :
nous avons convoité la femme de notre prochain, nous sommes prosternés devant les deux idoles plantureuses de chez “Dark Dog” et n’avons pas observé le repos le jour du seigneur. Et nous avons bu, oh oui nous avons bu (de la Lisbeth pour ma part ^^)
Voila Colmar transformée en Pandemonium.

Mendo, c’est caliente
Mendo was SuperDry,
Colmar was Super Wet
et dans le palais de Lucifer, il fait chaud!

L’influence méridionale de Mendo s’entend parfois dans son mix aux accents tribals, mais plus encore dans la moiteur ambiante!

Chaud le Mendo! Chaude aussi la foule, salle comble, salle imbibée, salle trempée!  Dr.Gonzo qui prendra la relève aux platines terminera d'ailleurs à poil... Une soirée à ne pas rater donc! ;-)



Mendo est tribal, Mendo est groovy, Mendo est club, Mendo est House, mais Mendo est bon!

pendant près de 3 heures, Mendo ciselle son mix, passant de morceaux aux influences tribales à d’autres plus groovy, glissant un mix d’Adele au milieu, quelques percussions “live” sont rajoutées par un Rasta de passage, pendant que les photographes amateurs et professionnels mitraillent la foule en sueur.

Le diable est beau, Midas-Mendo (pas pour les pneus hein!) change le son en or.

Je terminerais en remerciant les danseurs fous, alcoolisés ou non, ceux qui se laissent emporter par la musique et qui bougent avec elle, au diable (le vrai!) ceux qui ne sont pas “à fond dedans” et les piliers de bar. Cette dédicace ne s’adresse bien évidemment pas à l’imbécile qui pogottait sur la piste, la soirée Hard rock c’est le lendemain du-con-la-joie!


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